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Créé le : 14/07/2009 14:20
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lusitanien

29/09/2009 09:08

lusitanien


Le Lusitanien, Lusitano, Pur sang lusitanien ou Pure race lusitanienne est une race de cheval de selle d’origine portugaise, très proche du Pure race espagnole avec lequel il partageait l'appellation d'andalou jusqu'en 1966, date à laquelle le stud-book du Lusitanien (aujourd'hui appelé le Pur-sang Lusitanien) a été ouvert. Connu comme le « cheval des rois » aux XVIIe et XVIIIe siècles, il connut une période de déclin due à l'élevage du pur-sang anglais et des chevaux de sport. Il connaît désormais un regain de popularité grâce au spectacle équestre et à ses performances en dressage.
Le Lusitanien est, comme le Pure race espagnole, un cheval d'origine celte qui fut marqué très tôt par l'influence du Barbe venu d'Afrique du nord. Ce cheval est mentionné dès le XVIe siècle où il était élevé par les moines chartreux des monastères de Séville ou de Jerez par exemple. Depuis la création de son stud-book, la race a pu développer des caractéristiques qui lui sont propres. Elle est à présent reconnue en France par les Haras nationaux.
Le type du Lusitanien est différent de celui du PRE car ses lignes sont plus élancées et son arrière-main plus puissante, et bien arrondie. Ses amateurs le disent mieux conformé que son cousin espagnol. C'est un cheval médioligne et sa longueur de la pointe de l'épaule à la pointe de ses vertèbres de queue est égale à sa hauteur au garrot, la silhouette du Lusitanien s’inscrit donc dans un carré. La tête est noble, avec un profil légèrement convexe et des yeux doux. Les naseaux sont en amande et en retrait de la ligne du chanfrein. Les mâles possèdent une encolure très puissante. La crinière du Lusitanien est très abondante et légèrement frisée. L'impression générale est celle d'un cheval noble et harmonieux. La taille est de 1,55m à 1,60 m au garrot.
Les tableaux de George Hamilton et de Laurent de Wittede prouvent que les chevaux ibériques pouvaient arborer toutes les couleurs de robe au XVIIIe. La robe alezane est toutefois devenue rarissime car une légende populaire affirmait que le chaval alezan était colérique. Le Lusitanien est l'une des rares races dont le standard accepte toutes les couleurs de robe, y compris le pie et le crème. La plupart des Lusitaniens sont toutefois de robe grise, ils naissent de couleur foncée et s'éclaircissent avec l'âge, jusqu'à devenir presque blancs. Il semble que la robe grise ait été privilégiée pour le prestige que représentait le fait de monter un cheval d'apparence blanche. Le bai est également fréquent, souvent avec des reflets brillants, le noir est très recherché. L’isabelle, le crème aux yeux bleus et le palomino sont des robes rares et recherchées. Le Lusitanien peut porter une raie de mulet, en particulier s'il est de robe isabelle ou souris, et des zébrures sur les membres. ces robes lui donnent la faveur des cavaliers de spectacle et ses qualités permettent au Lusitanien d'être un candidat de choix pour la sélection des chevaux « de couleur », en particulier les chevaux de « pure race crème », choisis par Bartabas dans l'académie équestre de Versailles.





Le Frison

29/09/2009 09:01

Le Frison


Le Frison est une race de cheval de selle et de trait originaire de la Frise, province des Pays-Bas dont il tire son nom. C'est un cheval de prestige très ancien, apprécié pour le spectacle en raison de sa grande élégance et de son charisme, qui porte toujours une robe noire. Il est d'ailleurs surnommé « La perle noire ».
Le Frison est probablement le résultat d’un croisement entre l’ancien cheval continental de type lourd et le cheval celtique plus léger, le Tarpan. Depuis l’Antiquité, la race a subi des apports de sangs andalou et castillan, occasionné par les guerres et le commerce. Le Frison était un cheval de trait adapté à tirer les charrues pour le travail de la terre. Il s’est au fur et à mesure allégé et affiné grâce au sang espagnol. Jules César l’apprécia, puisqu’il évoqua « les formidables chevaux de bataille du peuple frison ». En son temps, quelques-uns de ces chevaux furent emmenés en Angleterre par les Romains. Ils participèrent ainsi à l’élaboration de races reconnues comme les poneys Fells, Dales et les Clydesdales. Au Moyen Âge, il bénéficia de l’engouement de la noblesse pour les chevaux blancs ou noirs à crinière longue et aux allures relevées. Il était alors exclusivement réservé aux seigneurs.
Aux XVIe siècle et XVIIe siècle siècle, il reçut du sang andalou qui lui apporta son trot gracieux et son port d'encolure altier. Ses allures hautes et légères lui valurent une bonne réputation pour la haute école. Au XVIIIe siècle, les officiers supérieurs de l’armée profitèrent de ses allures relevées, de son trot léger et rapide, de son port d’encolure et de son allure sombre pour intimider l’ennemi au combat.
Au XIXe siècle, avec la nouvelle mode des courses de trot, les courses de frisons montés ou attelés à la chaine frisonne devinrent très populaires. Ce trotteur fut paradoxalement menacé d’extinction. En effet, réputé le plus rapide d’Europe, le Frison fut victime de son propre succès : pour améliorer ses performances, les éleveurs n’hésitèrent pas à le croiser avec des Trotteurs Orlov de Russie et des Morgans américains, d'où naquit l’Oldenbourg. La modernisation de l’agriculture finit par mettre la race en péril. Ainsi, en 1865, la loi visant à protéger l’élevage frison fut abrogée et les importations de chevaux lourds, plus aptes à tracter les machines agricoles, furent permises.
C’est en plein cœur de la crise, en 1879, que le stud-book du Frison s'ouvrit grâce à deux nobles nostalgiques, C. Van Eyzinga et A.J Velligen, que suivirent des paysans fidèles à leurs chevaux traditionnels. En 1913, ils regroupèrent les trois seuls étalons frisons qui restaient encore dans une vaste bâtisse : Prins 109, le premier étalon approuvé par le FPS, Friso 117, et Alva 113. Malgré tous leurs efforts, il ne restait en 1913 que quelques centaines de juments et trois étalons âgés, dont Alva 113, mort en 1915, qui fut le premier étalon « preferent » (prédicat décerné à un sujet ayant contribué à l'amélioration de la race) et qui fut l’un des quatre pères de la race du Frison actuel.
Constitués en société, les passionnés se mobilisèrent alors pour sauver la race et sélectionnèrent Paulus et Prins, deux étalons qui deviendront deux piliers des lignées de l’élevage actuel. Au XXe siècle, le frison traversa la Première Guerre mondiale en subissant beaucoup de pertes. Il avait pour charges des canons montés sur char, ce qui le rendit sensiblement plus fragile au développement de la race. Cependant, il restait quelques milliers de chevaux à la fin des années 1940. Ainsi, il n'y eut plus que trois étalons aptes à la reproduction, Ritske, Tetman, et Age.
Dans les années 1960 à 1970, le Frison fut menacé en raison de l’engouement immodéré pour le Pur-sang anglais. Ses défenseurs échappèrent de justesse à ce danger en l’exposant à la consanguinité plutôt qu’aux croisements inopportuns. Il se révéla alors excellent aux épreuves d’attelage et, en 1972 cela lui valut d’être à nouveau au cœur d’une vague de popularité.
Le cheval frison est aujourd’hui une figure emblématique de l’histoire hollandaise, et il est le seul cheval habilité à conduire l’attelage de la reine Beatrix, marraine de l’association royale du stud-book du frison (FPS), lors de l'ouverture de la session annuelle du parlement hollandais[1] La race des frisons est reconnue par les Haras nationaux français depuis 2004 en temps que cheval de selle.
Le Frison toise environ de 1,55 à 1,66 mètres au garrot et peut atteindre 1,75 m pour les plus grands spécimens. Son port de tête le fait toujours paraître plus grand qu'il n'est en réalité. Il est toujours noir zain sauf en cas de croisement (C'est pour cela qu'on le surnomme « la perle noire »). Sa tête est noble et expressive, pas très longue, avec de petites oreilles dont les pointes se rapprochent. L'encolure, portée très haut, rehausse son port de tête altier. Son dos est court et fort, l'épaule longue et profonde. La croupe est légèrement oblique. C'est un cheval puissant, avec des fanons et une crinière très fournie de longs crins caractéristiques : noirs et souvent ondulés ou frisés. Aucune marque blanche n'est acceptée : ni liste, ni balzane. Parfois, une petite étoile blanche est tolérée pour les juments, mais jamais pour les étalons reproducteurs.
Il est apprécié pour son allure, en particulier le trot car il est très gracieux, ce qui le rend très populaire pour les attelages. Sa présence en compétition de dressage reste encore marginale. C'est un cheval dit « tardif ». Il est communément admis qu'il atteint l'âge adulte vers 5-6 ans, au lieu de 3 ans pour la majorité des autres races de chevaux. Son caractère est en or, il se prête volontiers aux ordres de son cavalier, très attachant.

Il existe trois modèles de chevaux Frisons :

  • Le cheval baroque : frison massif, très puissant qui a gardé les caractéristiques de ses ancêtres. Ses allures sont très marquées, il possède de longs crins. Il est redevenu populaire. On le retrouve lorsqu'il appartient parfois à de très vieilles souches de lignées frisonnes.
  • Le cheval lux ou moderne : frison semi-massif, qui s'est allégé de par son ossature, mais qui conserve les grandes courbes et les allures propres à la race.
  • Le cheval sport : frison très léger, qui a perdu quasiment toutes les caractéristiques massives de la race, tout en conservant généralement ses allures.
L’Ispazon est une nouvelle race équine française issue du croisement entre un cheval de race Frison et un cheval ibérique (Pure race espagnole ou Lusitanien). La race n'est pas reconnue par les haras nationaux en France, les chevaux issus de ce croisement sont enregistrés en Origines Constatées en attendant une éventuelle reconnaissance, comme ce fut le cas pour la race du Henson. Le registre de la race est tenu par L'AFCI (association française du cheval Ispazon) qui enregistre les poulains issus de ce croisement selon les critères suivants : Le cheval Ispazon est défini par un géniteur frison et un géniteur ibérique, un géniteur frison ou ibérique et un géniteur ispazon ou deux géniteurs ispazon. Suivant les origines du cheval, il est admit soit sur le registre "Ispazon" soit sur le registre "Breeding Stock", c'est à dire "réserve d'élevage". Les chevaux gris ou qui grisonnent en vieillissant sont enregistrés en "réserve d'élevage" Seule une étoile en tête ou ailleurs est tolérée (pas de balzanes, pas de liste.) Cette race existe aux états-unis sous le nom de Warlander. Saeta del Tessuor est la première pouliche ispazonne.

Le croisement du Frison avec l'Arabe donne un arabo-frison, un cheval très élégant.
L'image “http://pagesperso-orange.fr/frisonsduperche/images/tessa%201.jpg” ne peut être affichée car elle contient des erreurs.
 





Joli poney

29/09/2009 08:49

Joli poney







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